Vous avez sûrement déjà tapé l’adresse de votre site dans PageSpeed Insights, le célèbre outil de Google qui note les performances d’une page web. Et là, vous découvrez une jolie note en rouge, ou au mieux en orange… Vous rafraîchissez la page. Vous changez de navigateur. Vous videz le cache. Rien n’y fait, la note ne grimpe pas. Ce jour-là, vous vous dites peut-être que Google vous en veut personnellement.
- Améliorer la vitesse de chargement tout en gardant un site agréable et convaincant pour vos visiteurs.
- Faire les bons choix d’optimisation pour éviter de casser le design ou les fonctionnalités utiles.
- Comprendre ce que mesurent réellement les outils de performance afin de savoir quand écouter Google et quand privilégier l’humain.
Optimiser un site pour qu’il soit rapide est essentiel. Une page lente fait fuir les visiteurs, réduit vos conversions et finit par dégrader votre référencement. Pourtant, aller trop loin dans l’obsession de la performance peut aussi abîmer l’expérience utilisateur, voire casser des fonctionnalités utiles. La vraie question n’est donc pas “comment avoir 100/100 sur PageSpeed Insights”, mais “jusqu’où optimiser sans dégrader votre site ou sacrifier vos utilisateurs”.
Dans ce chapitre, vous allez découvrir comment fonctionne PageSpeed Insights, ce qu’il faut vraiment optimiser pour un site rapide, et surtout comment préserver une expérience utilisateur fluide et agréable. L’objectif n’est pas de vous transformer en expert en performance, mais de vous donner les bons réflexes pour optimiser intelligemment.
- Comprendre PageSpeed Insights : un outil, pas un juge
- Optimiser oui, mais pas au détriment de l’expérience utilisateur
- Les optimisations essentielles qui améliorent à la fois PageSpeed Insights et l’expérience utilisateur
- Les pièges à éviter absolument
- Aller au-delà des chiffres : comment savoir si vos visiteurs sont heureux
- Optimiser de manière progressive et sans risque
- Quand communiquer les performances à un client ou à un collègue
- Expérience utilisateur : l’ingrédient invisible qui fait la différence
- PageSpeed Insights : un guide, pas un but final
- Optimiser c’est bien, écouter vos utilisateurs c’est mieux
Comprendre PageSpeed Insights : un outil, pas un juge
Avant de foncer à la recherche de la note parfaite, il faut préciser ce que mesure réellement PageSpeed Insights. Contrairement à ce que l’on pourrait croire, sa note ne juge pas la qualité de votre site. Elle ne mesure même pas directement s’il est agréable à utiliser. Elle analyse des indicateurs techniques appelés Core Web Vitals, qui ont pour but de refléter la perception de vitesse et de confort d’un visiteur.
Les principaux indicateurs sont :
- First Contentful Paint, qui mesure le temps avant que le premier élément visible n’apparaisse.
- Largest Contentful Paint, qui évalue le moment où le plus gros élément de contenu devient lisible.
- Cumulative Layout Shift, qui mesure les “sauts d’affichage” qui surprennent l’utilisateur.
Dit comme ça, cela paraît très scientifique et intimidant. Pourtant, derrière ces mesures se cache une idée simple : un site doit charger vite, afficher son contenu sans trembler, et ne pas laisser l’utilisateur attendre dans le vide.
Mais attention : PageSpeed Insights se base sur des tests automatisés. Ces tests ne connaissent pas votre public, vos choix graphiques, ni les fonctionnalités utiles à votre projet. Ils se contentent d’évaluer ce que Google considère comme de bonnes pratiques techniques.
L’erreur la plus fréquente consiste donc à vouloir suivre aveuglément l’outil, sans réfléchir à ce que cela signifie pour vos visiteurs.
Optimiser oui, mais pas au détriment de l’expérience utilisateur
Imaginons que vous possédiez un site vitrine avec de belles photos, des animations, des éléments interactifs. PageSpeed Insights vous dira probablement que ces images sont trop lourdes, que les animations ralentissent le rendu, qu’il faudrait supprimer telle librairie JavaScript. Vous pouvez obéir, alléger, retirer, compresser encore… et finir avec un site qui charge très vite… mais qui ressemble à une page Word tirée des années 2000.
La performance n’est pas une religion. Un site doit avant tout servir un objectif : informer, vendre, inspirer, divertir. Si vos optimisations détruisent ce que le site a de séduisant, vous perdez l’essentiel.
À vouloir absolument le score parfait vous allez passer des journées à optimiser tout ce que l’outil suggère. Le site va gagné en vitesse, c’est vrai. Mais après le lancement, les retours des visiteurs peuvent fait mal : un design trop plat, une expérience sans personnalité, un sentiment de “déjà vu”. Au final, vous allez devoir réintroduire une partie des éléments supprimés. Une bonne leçon : le 100/100 n’est pas si magique.
L’expérience utilisateur inclut la performance, mais aussi :
- La lisibilité du contenu
- Le confort de navigation
- L’émotion provoquée par le design
- La fluidité des interactions
- La cohérence avec votre image et vos objectifs
Parfois, une image un peu plus lourde mais vraiment impactante vaut mieux qu’un texte sec sur fond uni.
Ce que PageSpeed Insights voit… et ce qu’il ne voit pas
Pour optimiser intelligemment, il faut distinguer les deux mondes : celui de Google et celui des humains. Ce que PageSpeed Insights mesure très bien :
- La taille des fichiers, notamment JavaScript
- La qualité du chargement des images
- Le temps de réponse du serveur
- La présence ou non d’optimisations techniques (cache, minification…)
Ce qu’il ignore totalement :
- Si le design fait envie
- Si la navigation est claire
- Si les textes sont compréhensibles
- Si les boutons sont assez visibles
- Si votre public réel aime utiliser votre site
Un exemple concret : PageSpeed Insights déteste les sliders et carrousels d’images. Ils sont lourds à charger, et souvent inutiles d’un point de vue SEO. Pourtant, ils ont parfois un vrai rôle commercial, notamment sur les sites d’hôtels, de restauration, d’artisans, où l’émotion visuelle compte énormément.
Un autre exemple : un script de chat en ligne ou un système de réservation peut faire perdre plusieurs points de performance. Faut-il le supprimer ? Si c’est l’élément qui apporte le plus de prospects ou de clients… probablement pas.
Un bon site n’est pas le plus rapide possible. C’est celui qui répond au mieux aux attentes des utilisateurs.
Trouver l’équilibre : la méthode gagnante
Au lieu de courir après le score parfait, adoptez une stratégie plus raisonnable : viser une performance suffisante et une expérience utilisateur excellente. Google lui-même le dit : les Core Web Vitals comptent, mais ils ne sont qu’un critère parmi tant d’autres pour votre référencement.
La bonne question à se poser est donc :
Quelles optimisations vont améliorer à la fois la note et le confort de mes visiteurs ?
Heureusement, il en existe beaucoup qui ne nécessitent pas de compromis. Par exemple :
- Compresser les images sans sacrifier leur qualité
- Activer la mise en cache pour éviter de tout recharger à chaque visite
- Supprimer les scripts inutiles, jamais utilisés
- Limiter les animations trop complexes qui bloquent le navigateur
- Précharger les éléments importants visibles dès le début
Ces actions offrent souvent des gains très visibles, sans nuire au design ni aux fonctionnalités. Nous allons explorer tout cela dans la suite de ce chapitre…
Les optimisations essentielles qui améliorent à la fois PageSpeed Insights et l’expérience utilisateur
Vous l’avez compris, l’objectif n’est pas de tout sacrifier sur l’autel du score. Heureusement, il existe des optimisations gagnant-gagnant. Elles rendent votre site plus rapide pour vos visiteurs tout en donnant satisfaction à PageSpeed Insights. Ce sont celles que vous devriez faire en priorité, surtout si vous débutez.
La première étape consiste à travailler vos images. Sur un site web moderne, les images représentent souvent plus de 50 % du poids total d’une page. Une simple photo de 3 ou 4 Mo, ajoutée telle quelle, peut ralentir toute une page. La bonne pratique est de :
- Redimensionner les images à la taille réelle d’affichage.
- Compresser les fichiers au format moderne WebP ou AVIF si possible.
- Générer plusieurs tailles adaptées aux écrans mobiles.
Ces changements sont invisibles pour l’utilisateur, car la qualité perçue reste élevée. En revanche, la page se charge nettement plus vite. Vous gagnez en fluidité, en confort visuel et en points sur PageSpeed Insights.
Ensuite vient le chargement différé des images non visibles immédiatement, aussi appelé lazy-loading. L’idée est toute simple : plutôt que de charger toutes les images d’une page dès l’ouverture, on commence seulement par celles situées dans la partie visible de l’écran. Les autres se chargeront plus tard, au moment où l’utilisateur commence à faire défiler la page. C’est un peu comme si vous prépariez le petit-déjeuner sans attendre que toute la journée soit programmée.
Vous pouvez également optimiser le JavaScript, souvent trop lourd. De nombreux sites utilisent des bibliothèques complètes alors qu’ils n’ont besoin que de quelques fonctions. Cela ralentit l’affichage, surtout sur mobile où les processeurs sont moins puissants. Identifier les scripts indispensables et supprimer tout ce qui ne sert à rien peut faire une énorme différence. Et si un script est utile mais lourd, vous pouvez différer son chargement ou le charger uniquement sur certaines pages.
Enfin, un réglage très simple mais souvent oublié : utiliser un système de cache. Le cache permet d’éviter de télécharger les mêmes ressources à chaque visite. Cela rend la navigation bien plus rapide, notamment pour les visiteurs réguliers. De nombreux plugins WordPress le font automatiquement, ce qui facilite la vie des débutants.
Ces optimisations ont un point commun : elles améliorent la vitesse réelle perçue par l’utilisateur. Vous ne chassez pas une note, vous améliorez l’expérience.
Les pièges à éviter absolument
Maintenant que vous connaissez les bonnes pratiques à adopter sans crainte, il est temps de parler des pièges. Ceux qui, sous prétexte d’optimiser, finissent par dégrader votre site.

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Découvrez mes formations Qui suis-je ?Le premier est de supprimer le JavaScript ou le CSS à l’aveugle. Certains outils d’optimisation proposent de réduire automatiquement ces fichiers, voire de les combiner. C’est tentant, car la note grimpe souvent après coup. Mais cela peut casser l’affichage ou le fonctionnement de certains éléments. Un bouton qui ne s’active plus, un menu qui ne s’ouvre plus… L’utilisateur, lui, ne voit que la panne. Avant de valider une optimisation, testez toujours la page dans plusieurs conditions, notamment sur mobile.
Un autre piège concerne les polices personnalisées. Elles ajoutent du style, de la personnalité, mais elles ont aussi un coût en performance. PageSpeed Insights peut recommander des stratégies agressives pour accélérer leur chargement, comme afficher d’abord une police système avant de remplacer par la police personnalisée. Ce “saut de police” peut surprendre l’utilisateur, casser l’harmonie visuelle ou donner une impression de bricolage. Là encore, il faut tester et trouver un réglage acceptable.
Le manque d’équilibre se voit aussi dans la compression trop forte des images. Vous avez peut-être déjà rencontré un site où les photos semblent pleines de grains, ou floues sur grand écran. C’est souvent le résultat d’une compression abusive. Si votre métier repose sur la qualité visuelle, comme un photographe ou un artisan, une image abîmée fait plus de tort qu’un chargement un peu plus long.
Enfin, attention à la course au score. Vous pouvez perdre des heures à gagner un point ou deux sur PageSpeed Insights, alors que l’utilisateur ne verra aucune différence. Cela peut même retarder l’évolution du site, la création de pages, ou les améliorations qui comptent vraiment.
Pour résumer : le but n’est pas d’enlever des fonctionnalités, mais de garder les bonnes et seulement optimiser ce qui se voit et ce qui sert.
Aller au-delà des chiffres : comment savoir si vos visiteurs sont heureux
PageSpeed Insights n’est pas votre utilisateur. C’est un robot qui mesure des choses utiles, mais partielles. Pour savoir si vous optimisez dans le bon sens, vous devez aussi analyser la réaction des vrais visiteurs.
Pour cela, plusieurs signaux vous donnent une image précise :
- Le taux de rebond, qui indique si les visiteurs quittent trop vite
- Le temps moyen passé sur la page, révélateur d’un contenu engageant
- Les clics sur les éléments importants, comme un bouton d’achat
- La progression dans un formulaire ou un tunnel de vente
- Les retours directs de vos utilisateurs
Si vous constatez que votre site devient plus rapide et que ces indicateurs s’améliorent, alors vous faites les bons choix. Si au contraire tout s’effondre après une optimisation, c’est un signe évident que vous avez trop tiré sur la ficelle.
Observer le comportement réel est essentiel, car chaque site a son propre public. Par exemple, un site d’actualités doit charger vite, avec peu d’images et beaucoup de texte. Un site de photographe doit faire rêver, même si cela prend une seconde de plus.
La règle d’or est simple : votre site n’est pas fait pour obtenir une médaille Google. Il est fait pour être utilisé et apprécié par des humains.
Écouter votre intuition
On parle beaucoup d’outils, de mesures, d’indicateurs. Mais parfois, la réponse est évidente : il suffit de regarder votre propre site comme si vous découvriez la page pour la première fois. Si un élément vous agace, il agacera les autres. Si vous attendez trop longtemps devant un écran blanc, il faut améliorer la performance. Si une photo vous fait dire “wow”, alors elle mérite de rester.
L’expérience utilisateur, c’est aussi une affaire de bon sens et de sensibilité.
Optimiser de manière progressive et sans risque
Une bonne optimisation, c’est comme une rénovation de maison : on ne casse pas tout d’un coup, on avance étape par étape en observant les effets. C’est exactement la méthode que je vous conseille d’adopter avec PageSpeed Insights.
Commencez par analyser une page précise. Ne cherchez pas à optimiser tout votre site d’un seul coup. Prenez la page la plus importante : la page d’accueil, une fiche produit, la page d’un service essentiel. Lancez un test PageSpeed Insights, puis notez les éléments qui apparaissent en priorité. Vous allez souvent retrouver des points classiques : images trop lourdes, JavaScript inutile, cache absent…
Effectuez une première optimisation, puis testez de nouveau. Enfin, vérifiez l’état de la page sur un vrai téléphone et un vrai ordinateur. C’est la seule réalité qui compte : la perception humaine.
Si tout fonctionne bien, vous pouvez appliquer ces mêmes améliorations à d’autres pages. Cette méthode progressive évite les catastrophes et vous permet de comprendre les effets réels de chaque réglage.
Quand communiquer les performances à un client ou à un collègue
Si vous êtes webmaster, développeur ou chargé du site d’une entreprise, vous avez probablement déjà entendu cette phrase : “Je veux 100 sur PageSpeed Insights, sinon Google ne nous trouvera jamais.” Ce type de demande est souvent une source de stress, surtout lorsque la personne en face n’a pas conscience des compromis nécessaires.
Pour faciliter la discussion, il est utile d’expliquer que la performance fait partie de l’expérience utilisateur. Améliorer le temps de chargement aide le référencement, mais ce n’est pas la seule chose qui compte. Montrez des exemples concrets : un menu cassé à cause d’un script supprimé, une image trop compressée qui donne une impression bas de gamme…
Vous pouvez également montrer d’autres indicateurs qui prouvent l’efficacité de vos actions, comme l’amélioration du taux de conversion ou l’augmentation du temps passé sur la page. En d’autres termes : au lieu de parler uniquement d’un score technique, montrez les conséquences positives pour les visiteurs.
Et si votre responsable insiste malgré tout, vous pouvez rappeler que même de grands sites montrent un score imparfait. Amazon, par exemple, n’affiche pas un 100/100, et pourtant… il continue de vendre le monde entier sans sourciller.
Expérience utilisateur : l’ingrédient invisible qui fait la différence
Ce qui fait la réussite d’un site web, ce ne sont pas uniquement des paramètres techniques, mais la manière dont le visiteur se sent pendant sa navigation. L’émotion que l’on ressent lorsqu’une page nous accueille avec une belle photo, la satisfaction lorsque les informations sont faciles à trouver, la confiance que l’on accorde lorsqu’un site a l’air bien conçu.
L’expérience utilisateur est un mélange subtil qui ne se mesure pas entièrement dans un outil. Elle se ressent. Un site un peu moins rapide, mais beaucoup plus engageant, sera toujours plus efficace qu’un site ultra-optimisé mais froid et impersonnel.
Vous avez sûrement déjà été confronté à une page vide qui s’affiche vite… mais qui ne vous donne aucune envie de rester. La vitesse ne fait pas tout. Un site, c’est une rencontre entre une personne et un contenu. Si cette rencontre manque de charme, la performance devient inutile.
PageSpeed Insights : un guide, pas un but final
Il se peut qu’à force d’optimiser, vous commenciez à voir votre site non plus comme un espace de communication, mais comme un ensemble de cases à cocher pour satisfaire Google. C’est le gros danger des outils automatisés : ils peuvent déformer la vision que l’on a de son propre travail.
PageSpeed Insights n’est pas un juge. C’est un manuel de bonnes pratiques, un conseiller. Il vous aide, mais il ne doit pas diriger votre créativité. Vos visiteurs ne lisent pas une note de performance. Ils vivent une expérience. Ils ressentent la fluidité, la qualité des visuels, l’intuitivité du parcours.
Si Google avait voulu que tous les sites obtiennent un 100/100, il aurait conçu un web uniforme, sans personnalité. Or, ce que l’on aime sur internet, ce sont justement les différences, les styles variés, les émotions diverses que chaque site peut nous offrir.
Optimiser c’est bien, écouter vos utilisateurs c’est mieux
Vous l’avez vu tout au long de ce guide : optimiser un site est indispensable. Un site lent fait perdre des visiteurs, nuit au référencement, et transmet une image moins professionnelle. PageSpeed Insights, avec ses conseils techniques, est un excellent allié pour repérer les failles et améliorer vos performances.
Mais cette optimisation ne doit jamais devenir une obsession. Elle ne doit pas effacer le charme, l’identité visuelle ou l’utilité de votre site. La vitesse est une composante de l’expérience utilisateur, pas l’unique objectif. Lorsque vous faites un choix d’optimisation, demandez-vous toujours : est-ce bénéfique pour mes visiteurs ? Si la réponse est oui, vous êtes sur la bonne voie.
Un bon site, ce n’est pas celui qui obtient 100/100 sur PageSpeed Insights. C’est celui qui donne envie de rester, de lire, d’acheter, de s’abonner. Celui dont on se souvient parce qu’il nous a transmis une émotion, un message, une utilité.
Alors oui, optimisez votre site. Mais faites-le avec intelligence, avec mesure, et surtout avec respect pour les humains qui le visitent. Ce sont eux qui décideront du succès de votre projet, pas un algorithme.

Fondateur de l’agence Créa-troyes, affiliée France Num
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