Le référencement naturel (SEO) est un levier incontournable pour améliorer la visibilité d’un site web sur les moteurs de recherche. Pourtant, optimiser son SEO ne se limite pas à quelques ajustements techniques ou à l’ajout de mots-clés stratégiques. Une approche globale et méthodique est nécessaire pour garantir un site parfaitement optimisé.
Dans cet article, nous vous proposons une checklist détaillée de 215 points de contrôle on-site, couvrant tous les aspects essentiels du SEO : structure du site, balisage HTML, temps de chargement, contenu, maillage interne et bien plus encore. Que vous soyez débutant ou expert, cette liste vous aidera à identifier les points d’amélioration et à maximiser le potentiel de votre site web.

SEO : Structure du site et Accessibilité (25 points à vérifier)
- URL conviviales : elles doivent être propres, lisibles et sans caractères spéciaux.
- Présence d’un plan du site XML : permet aux moteurs de recherche d’explorer efficacement le site.
- Présence d’un plan du site HTML : facilite la navigation des utilisateurs et l’indexation des pages.
- Vérification du fichier robots.txt : contrôle l’accès des robots aux différentes parties du site.
- Présence et bonne configuration du fichier .htaccess : gère les redirections, la sécurité et l’optimisation.
- Utilisation correcte des redirections 301 et 302 : éviter les erreurs et conserver le jus SEO des pages déplacées.
- Suppression des erreurs 404 : corriger les liens cassés pour améliorer l’expérience utilisateur et le SEO.
- Vérification de l’indexation sur Google Search Console : s’assurer que les pages importantes sont bien indexées.
- Présence de la balise
<meta robots>
(index/follow) : contrôle l’indexation et l’exploration des pages. - Vérification de la navigation à facettes et des URL dynamiques : éviter la création de pages inutiles ou dupliquées.
- Gestion des pages en noindex : empêcher l’indexation des pages sans valeur SEO pour éviter le contenu dupliqué.
- Contrôle des erreurs d’exploration : analyser les erreurs dans Google Search Console et les logs serveur.
- Vérification de l’accessibilité des fichiers CSS et JS : s’assurer qu’ils ne sont pas bloqués pour Googlebot.
- Présence d’un fil d’Ariane structuré : améliore l’expérience utilisateur et l’interprétation des pages par Google.
- Compatibilité mobile et responsive design : garantir une navigation fluide sur tous les appareils.
- Vérification de l’utilisation du protocole HTTPS : assurer un site sécurisé et éviter les pénalités SEO.
- Test du temps de réponse du serveur (TTFB) : réduire le délai avant chargement de la première ressource.
- Vérification des liens internes cassés : s’assurer que tous les liens pointent vers des pages valides.
- Cohérence entre le nom de domaine principal et les sous-domaines : éviter la dispersion du SEO entre plusieurs versions du site.
- Mise en place d’une navigation intuitive : faciliter l’accès aux informations clés en quelques clics.
- Vérification des versions www et non-www : rediriger correctement l’une vers l’autre pour éviter le contenu dupliqué.
- Suppression des boucles de redirection : éviter les redirections infinies qui ralentissent le site.
- Vérification de l’indexation des pages essentielles : s’assurer que Google explore et affiche les bonnes pages.
- Test d’accessibilité via Google Lighthouse : identifier les problèmes d’ergonomie et de performance.
- Présence d’un fichier humans.txt (optionnel) : afficher des informations sur les créateurs du site.
Optimisation des URLs (15 points à vérifier)
- URL courtes et descriptives : privilégier des URLs claires et concises pour une meilleure lisibilité et indexation.
- Utilisation de tirets (-) au lieu des underscores (_) : améliorer la compréhension des mots-clés par Google.
- Éviter les paramètres inutiles dans l’URL : limiter l’usage des variables dynamiques pour éviter le contenu dupliqué.
- Suppression des sessions ID dans l’URL : empêcher la génération d’URLs multiples pour une même page.
- Éviter les chaînes de requêtes excessives : simplifier les URLs pour éviter les problèmes d’indexation.
- Suppression des URL en double : éviter que plusieurs versions d’une même page soient indexées.
- URL en HTTPS : garantir un site sécurisé et conforme aux exigences SEO actuelles.
- Suppression des caractères spéciaux (%20, &, =, ?, etc.) : éviter les erreurs d’indexation et améliorer la lisibilité.
- Cohérence des URLs avec la structure du site : organiser les URLs pour refléter l’arborescence du site.
- Utilisation de mots-clés dans l’URL : optimiser le référencement naturel en incluant des termes pertinents.
- Vérification de la canonicité des URL : s’assurer qu’une seule version d’une page est indexée par Google.
- Présence d’une structure hiérarchique logique : organiser les URLs selon la classification des contenus.
- Suppression des extensions (.html, .php, etc.) : simplifier les URLs pour une meilleure lisibilité et pérennité.
- Redirection des anciennes URL vers les nouvelles : utiliser des redirections 301 pour conserver le jus SEO.
- Vérification des balises
<link rel="canonical">
: indiquer la version principale d’une page pour éviter la duplication.
Optimisation des balises HTML (20 points à vérifier)
- Présence d’une balise
<title>
unique et optimisée : chaque page doit avoir un titre distinct et pertinent pour le SEO. - Longueur de la balise
<title>
entre 50 et 60 caractères : garantir un affichage optimal dans les résultats de recherche. - Présence d’une balise
<meta description>
unique : inciter les utilisateurs à cliquer en proposant un résumé attractif. - Longueur de la balise
<meta description>
entre 150 et 160 caractères : éviter la coupure dans les résultats de recherche. - Utilisation correcte des balises
<h1>
(une seule par page) : structurer le contenu en mettant en avant le sujet principal. - Présence et structuration logique des balises
<h2>
,<h3>
, etc. : organiser le contenu de manière hiérarchique et cohérente. - Utilisation de mots-clés dans
<title>
et<meta description>
: améliorer la pertinence de la page pour les moteurs de recherche. - Éviter la duplication des balises
<title>
et<meta description>
: s’assurer que chaque page a ses propres balises uniques. - Vérification de l’absence de balises
<meta refresh>
: éviter les redirections automatiques qui nuisent à l’expérience utilisateur. - Présence de la balise
<meta viewport>
pour mobile : garantir une bonne adaptation sur les écrans de toutes tailles. - Suppression des balises
<meta keywords>
(obsolètes) : inutile pour le SEO moderne, elles peuvent même être contre-productives. - Vérification de l’encodage des caractères (UTF-8) : assurer une compatibilité optimale et éviter les problèmes d’affichage.
- Optimisation des balises
<strong>
et<em>
pour éviter la sur-optimisation : ne pas en abuser pour ne pas être perçu comme du spam. - Structuration correcte des listes
<ul>
et<ol>
: améliorer la lisibilité et l’accessibilité du contenu. - Utilisation des balises
<blockquote>
pour les citations : mettre en valeur les citations sans impacter négativement le SEO. - Balises
<noscript>
bien configurées : offrir un contenu alternatif aux utilisateurs sans JavaScript. - Pas d’éléments HTML cachés en CSS : éviter les pratiques trompeuses qui peuvent être pénalisées par Google.
- Vérification des liens
<a>
avec des textes d’ancre pertinents : améliorer le maillage interne et le SEO des liens. - Présence d’une balise
<link rel="canonical">
correcte : éviter le contenu dupliqué en précisant l’URL principale. - Vérification de la présence des balises Open Graph pour le partage social : optimiser l’affichage des liens sur les réseaux sociaux.
Contenu et rédaction SEO (30 points à vérifier)
- Contenu unique et sans duplication interne : chaque page doit proposer un contenu original pour éviter les pénalités SEO.
- Texte d’au moins 300 mots par page : assurer une quantité suffisante d’informations pour un bon référencement.
- Présence de mots-clés principaux dans le premier paragraphe : aider Google à comprendre rapidement le sujet de la page.
- Utilisation de la sémantique et du champ lexical des mots-clés : enrichir le contenu avec des synonymes et termes associés.
- Structuration en paragraphes courts (3-4 lignes max) : améliorer la lisibilité et l’engagement des lecteurs.
- Présence de listes à puces pour faciliter la lecture : rendre les informations plus digestes et attractives.
- Absence de contenu caché pour manipuler Google : éviter les pratiques interdites pouvant entraîner des sanctions.
- Réduction du taux de mots-clés répétés (Keyword Stuffing) : privilégier un usage naturel pour ne pas être perçu comme spam.
- Présence d’un CTA clair sur les pages clés : inciter les visiteurs à passer à l’action (achat, inscription, contact).
- Lisibilité optimisée (score Flesch-Kincaid) : rédiger des textes adaptés à la compréhension de l’audience cible.
- Utilisation des balisages schema.org pertinents : enrichir les résultats de recherche avec des données structurées.
- Absence de fautes d’orthographe : garantir un contenu professionnel et crédible pour les utilisateurs et Google.
- Présence de contenus multimédias (images, vidéos, infographies) : dynamiser les pages et améliorer l’expérience utilisateur.
- Vérification du plagiat avec Copyscape ou Siteliner : s’assurer que le contenu n’est pas dupliqué depuis d’autres sites.
- Utilisation du maillage interne optimisé : relier les pages entre elles pour améliorer l’indexation et la navigation.
- Contenu régulièrement mis à jour : montrer à Google que le site est actif et pertinent.
- Bonne densité de mots-clés (naturelle) : intégrer les mots-clés de façon fluide sans surcharger le texte.
- Longueur des articles adaptée (1000-2000 mots pour le SEO) : produire des articles approfondis pour mieux se positionner.
- Présence de résumés pour les articles longs : faciliter la compréhension et inciter à la lecture complète.
- Utilisation de citations et sources crédibles : renforcer la fiabilité et la valeur du contenu.
- Vérification du taux de rebond et du temps passé sur page : analyser le comportement des visiteurs pour optimiser le contenu.
- Éviter les pages « orphelines » (sans liens entrants) : s’assurer que chaque page est bien intégrée dans le site.
- Vérification des contenus en double sur plusieurs URLs : prévenir le duplicate content en gérant les versions des pages.
- Utilisation de mots-clés longue traîne : capter un trafic qualifié en ciblant des requêtes spécifiques.
- Présence de questions/réponses dans le contenu (FAQ) : répondre directement aux interrogations des internautes.
- Vérification de la présence de « Contenu frais » pour Google : publier régulièrement des nouveautés pour un meilleur classement.
- Adaptation du ton selon la cible : utiliser un style d’écriture approprié aux attentes du public visé.
- Éviter le contenu dupliqué avec pagination (
rel=prev/next
) : optimiser la gestion des séries d’articles ou de produits. - Optimisation des descriptions produits pour l’e-commerce : rédiger des fiches détaillées et engageantes pour améliorer les ventes.
- Suppression des textes cachés en CSS ou JS : éviter toute tentative de dissimulation pouvant nuire au référencement.
Optimisation des images et multimédias (15 points à vérifier)
- Toutes les images ont un attribut alt descriptif : améliorer l’accessibilité et le SEO en ajoutant des descriptions claires.
- Compression des images pour améliorer la vitesse : réduire le poids des images pour accélérer le chargement des pages.
- Utilisation du format WebP ou AVIF : privilégier des formats d’image modernes pour une meilleure qualité et compression.
- Poids des images optimisé (< 100 Ko idéalement) : garantir un temps de chargement rapide avec des images légères.
- Suppression des images inutilisées : libérer de l’espace et réduire les demandes de serveur inutiles.
- Utilisation de lazy loading (
loading="lazy"
) : retarder le chargement des images en dehors de la vue de l’utilisateur pour accélérer le chargement initial. - Vérification des dimensions adaptées pour le responsive : s’assurer que les images s’adaptent bien aux différentes tailles d’écran.
- Présence de vidéos optimisées (formats et compression) : choisir des formats compatibles et bien compressés pour les vidéos.
- Ajout de sous-titres pour les vidéos : rendre le contenu vidéo accessible à tous les utilisateurs, y compris ceux malentendants.
- Hébergement des vidéos sur YouTube ou Vimeo pour alléger le serveur : utiliser des plateformes externes pour réduire la charge sur ton serveur.
- Utilisation de
srcset
pour les images responsives : fournir différentes tailles d’images pour différents écrans. - Suppression des images cassées : éviter les liens brisés pour ne pas pénaliser l’expérience utilisateur et le SEO.
- Vérification de l’accessibilité des images (texte descriptif) : s’assurer que toutes les images sont bien accessibles pour les utilisateurs malvoyants.
- Présence de légendes pour les images importantes : ajouter des légendes descriptives pour améliorer la compréhension et l’interaction.
- Suppression des images en double pour économiser le crawl budget : éviter d’indexer plusieurs copies d’une même image pour optimiser le budget de crawl.
Maillage interne et liens (20 points à vérifier)
- Présence d’un bon maillage interne : relier logiquement les pages pour améliorer l’expérience utilisateur et le référencement.
- Liens internes utilisant des ancres optimisées : utiliser des ancres pertinentes et descriptives pour aider le SEO.
- Pas de liens internes brisés : s’assurer que tous les liens internes fonctionnent correctement pour éviter les erreurs 404.
- Suppression des liens internes en nofollow (sauf cas précis) : éviter d’utiliser
nofollow
à moins que cela ne soit nécessaire pour certaines pages. - Liens vers les pages importantes placés stratégiquement : positionner les liens internes sur les pages clés pour renforcer leur visibilité.
- Vérification du nombre de liens internes par page : éviter une surcharge de liens qui pourrait diluer leur valeur SEO.
- Hiérarchisation correcte des liens internes : structurer les liens selon l’importance des pages pour optimiser la navigation et le SEO.
- Présence d’une pagination propre et optimisée : utiliser une pagination bien configurée pour améliorer l’indexation des pages multiples.
- Mise en place d’un siloing thématique clair : organiser le contenu en silos pour renforcer la pertinence thématique des pages.
- Vérification des liens sortants vers des sites de confiance : s’assurer que les liens sortants pointent vers des sites fiables et pertinents.
- Éviter les chaînes de redirection sur les liens internes : limiter les redirections multiples pour améliorer la vitesse de chargement.
- Suppression des liens internes vers des pages en noindex : éviter de lier vers des pages qui ne doivent pas être indexées par les moteurs de recherche.
- Liens internes naturels, non forcés : s’assurer que les liens sont intégrés naturellement dans le contenu pour une meilleure expérience utilisateur.
- Vérification des liens dupliqués sur la même page : éviter la répétition excessive de liens vers la même page.
- Présence de liens vers des pages d’autorité (Wikipedia, sources) : ajouter des liens vers des pages de confiance pour renforcer la crédibilité du site.
- Utilisation de backlinks internes pour renforcer les pages stratégiques : utiliser des liens internes pour promouvoir les pages les plus importantes.
- Suppression des liens internes vers des pages supprimées : éliminer les liens morts pour éviter une mauvaise expérience utilisateur.
- Optimisation des liens internes sur mobile : vérifier que les liens internes sont fonctionnels et faciles à utiliser sur les appareils mobiles.
- Présence d’un menu de navigation bien structuré : mettre en place un menu clair pour faciliter l’accès aux pages importantes.
- Vérification des redirections internes pour éviter les boucles : s’assurer qu’aucune boucle de redirection ne se forme pour ne pas nuire au référencement.
Performances et temps de chargement (25 points à vérifier)
- Score Google PageSpeed Insights > 90 : viser un score élevé pour une meilleure performance et une meilleure expérience utilisateur.
- Temps de chargement total < 3s : optimiser la vitesse pour offrir une expérience utilisateur rapide et fluide.
- Réduction du TTFB (Time to First Byte) : minimiser le délai avant que le premier octet ne soit reçu pour améliorer la réactivité du site.
- Mise en cache des ressources statiques : stocker les fichiers non modifiés dans le cache pour réduire les temps de chargement.
- Utilisation d’un CDN (Cloudflare, Akamai…) : distribuer les ressources via un CDN pour améliorer la vitesse en réduisant la distance entre le serveur et l’utilisateur.
- Minification des fichiers CSS, JS et HTML : réduire la taille des fichiers en supprimant les espaces et les commentaires inutiles.
- Suppression des scripts inutilisés : enlever les scripts non utilisés pour alléger la page et accélérer le chargement.
- Utilisation de HTTP/2 ou HTTP/3 : utiliser ces protocoles pour améliorer les performances de chargement des ressources.
- Compression Gzip activée : compresser les fichiers pour réduire la taille des ressources envoyées au navigateur.
- Chargement asynchrone des fichiers JS : charger les scripts JavaScript de manière asynchrone pour éviter de bloquer le rendu de la page.
- Optimisation du rendu critique CSS : charger le CSS nécessaire au rendu de la page en premier pour accélérer l’affichage.
- Utilisation de prefetch/preconnect pour les ressources externes : précharger certaines ressources externes pour réduire les temps de chargement.
- Éviter les requêtes HTTP excessives : minimiser les requêtes pour améliorer la rapidité du chargement de la page.
- Utilisation efficace du cache navigateur : configurer le cache pour stocker efficacement les fichiers statiques et réduire les requêtes serveur.
- Chargement différé des vidéos et iframes : différer le chargement de contenus lourds comme les vidéos jusqu’à ce qu’ils soient visibles.
- Vérification des performances sur mobile et desktop : tester les performances sur tous les appareils pour garantir une expérience optimale.
- Réduction du nombre de requêtes SQL inutiles : minimiser les requêtes SQL pour améliorer la rapidité de récupération des données.
- Compression et optimisation des polices web : réduire la taille des polices pour accélérer le chargement des pages.
- Suppression des plugins WordPress inutilisés : désactiver les plugins non nécessaires pour éviter de ralentir le site.
- Hébergement sur un serveur rapide et optimisé : choisir un hébergement performant pour assurer une réponse rapide du serveur.
- Éviter les images en background non compressées : compresser les images en fond pour éviter de ralentir le chargement de la page.
- Réduction des animations et scripts bloquants : réduire les éléments bloquants et les animations inutiles pour améliorer la vitesse.
- Suppression des styles inline excessifs : déplacer les styles CSS dans des fichiers externes pour alléger le code HTML.
- Vérification des ressources bloquées au rendu : identifier et résoudre les ressources qui bloquent le rendu de la page.
- Test des performances avec Lighthouse et WebPageTest : tester régulièrement les performances du site avec des outils comme Lighthouse et WebPageTest.
Optimisation mobile et UX (20 points à vérifier)
- Site 100 % mobile-friendly (responsive design) : garantir que le site s’adapte parfaitement aux écrans de toutes tailles.
- Présence d’un menu hamburger ergonomique : implémenter un menu compact et facilement accessible sur mobile.
- Vérification du confort de lecture sur mobile : s’assurer que le texte est lisible et que la mise en page est agréable sur petits écrans.
- Éviter les pop-ups intrusifs sur mobile : supprimer ou minimiser les pop-ups qui gênent la navigation sur mobile.
- Contrôle des tailles de police et espacement des éléments : vérifier que la taille de la police et l’espacement sont adaptés pour la lecture mobile.
- Vérification de l’interaction tactile (boutons cliquables) : tester les boutons pour s’assurer qu’ils sont facilement cliquables sur mobile.
- Présence d’un mode sombre si pertinent : proposer un mode sombre pour améliorer l’expérience visuelle en fonction de l’environnement de l’utilisateur.
- Accès rapide aux informations essentielles sur mobile : organiser le contenu pour que les informations clés soient accessibles rapidement sur mobile.
- Vérification des Core Web Vitals pour mobile : s’assurer que les indicateurs de performance mobile comme la vitesse de chargement et la stabilité visuelle sont optimisés.
- Contrôle du viewport pour éviter les zooms involontaires : vérifier que le viewport est bien configuré pour empêcher les zooms non voulus sur mobile.
- Vérification des clics accidentels sur les liens rapprochés : s’assurer que les liens et boutons sont suffisamment espacés pour éviter les clics erronés.
- Test des fonctionnalités sur plusieurs tailles d’écran : tester le site sur différentes tailles d’écran pour vérifier son adaptation.
- Amélioration de la navigation interne mobile : simplifier la navigation pour faciliter l’accès aux pages sur mobile.
- Vérification de la taille des champs de formulaire : s’assurer que les champs de formulaire sont suffisamment grands pour être utilisés sur mobile.
- Éviter les CAPTCHA trop compliqués : opter pour des CAPTCHA simples afin de ne pas nuire à l’expérience utilisateur mobile.
- Présence d’une option de recherche interne optimisée : proposer une fonctionnalité de recherche facile à utiliser sur mobile.
- Réduction des animations excessives sur mobile : minimiser les animations qui peuvent ralentir ou nuire à l’expérience mobile.
- Vérification de la vitesse de chargement spécifique mobile : tester et optimiser le temps de chargement du site sur mobile.
- Test d’ergonomie mobile via Google Mobile-Friendly Test : utiliser les outils de Google pour tester et valider la compatibilité mobile.
- Expérience fluide et intuitive pour l’utilisateur : garantir que l’ensemble de l’expérience mobile soit intuitive et sans friction pour l’utilisateur.
Optimisation des fichiers et techniques avancées (20 points à vérifier)
- Suppression des fichiers inutilisés (CSS, JS, images) : éliminer les ressources non utilisées pour alléger le site.
- Regroupement des fichiers CSS en un seul fichier : fusionner les fichiers CSS pour réduire le nombre de requêtes HTTP.
- Vérification de l’intégration correcte de Google Tag Manager : s’assurer que Google Tag Manager est bien configuré et intégré dans le site.
- Suppression des erreurs JavaScript bloquantes : corriger les erreurs JavaScript qui ralentissent ou bloquent le rendu du site.
- Utilisation des headers HTTP pour la sécurité et le SEO : configurer les headers HTTP pour améliorer la sécurité et l’optimisation du site.
- Vérification de la compatibilité avec les navigateurs récents : tester le site pour s’assurer qu’il est compatible avec les dernières versions des navigateurs.
- Éviter les liens non sécurisés HTTP dans un site HTTPS : éviter d’utiliser des liens HTTP dans un site sécurisé en HTTPS pour ne pas nuire à la sécurité.
- Vérification des cookies et tracking sans abus : vérifier l’utilisation des cookies et du tracking pour respecter les réglementations et éviter l’abus.
- Utilisation d’un fichier .env pour les données sensibles : stocker les données sensibles (comme les clés API) dans un fichier .env sécurisé.
- Ajout de la prise en charge des PWA si pertinent : intégrer les Progressive Web Apps pour améliorer l’expérience utilisateur.
- Mise en place du lazy loading pour les vidéos : activer le lazy loading pour les vidéos afin de charger les ressources uniquement lorsque nécessaire.
- Vérification du cache serveur et application : s’assurer que le cache serveur est bien configuré pour améliorer la performance du site.
- Utilisation de logs serveurs pour analyser le crawl Google : analyser les logs serveurs pour détecter les erreurs de crawl par Google.
- Compression des fichiers .js et .css : compresser les fichiers JavaScript et CSS pour réduire leur taille et accélérer le chargement.
- Utilisation des bonnes permissions de fichiers (chmod) : s’assurer que les fichiers ont les bonnes permissions pour garantir la sécurité.
- Vérification de l’AMP si utilisé : s’assurer que la version AMP du site est correctement implémentée pour une meilleure performance mobile.
- Utilisation des hreflang pour le SEO multilingue : configurer les balises hreflang pour les sites multilingues afin de cibler les bons pays et langues.
- Test de redondance des fichiers chargés : vérifier qu’aucun fichier n’est chargé plusieurs fois, ce qui peut nuire à la performance.
- Éviter les conflits entre plugins WordPress ou Prestashop : s’assurer qu’aucun conflit n’existe entre les plugins pour garantir une bonne performance.
- Vérification des injections SQL potentielles : vérifier et sécuriser le site contre les vulnérabilités d’injection SQL pour protéger les données.
Autres optimisations avancées (25 points à vérifier)
- Présence de la fiche Google Business Profile : s’assurer que la fiche Google Business Profile est complète et à jour pour améliorer la visibilité locale.
- Ajout d’un plan d’accès sur le site : intégrer un plan d’accès pour faciliter la localisation de l’entreprise.
- Présence de la ville et région dans les balises <title> et <h1> : inclure les informations géographiques dans ces balises pour renforcer le SEO local.
- Présence d’avis clients avec Schema.org : structurer les avis clients à l’aide de Schema.org pour améliorer l’apparence dans les résultats de recherche.
- Cohérence entre les NAP (Nom, Adresse, Téléphone) : assurer que les informations NAP sont cohérentes sur tout le site et les annuaires.
- Présence de backlinks locaux et citations : obtenir des backlinks provenant de sites locaux pour améliorer la pertinence locale du site.
- Ajout de photos récentes sur Google Business Profile : mettre à jour régulièrement les photos sur Google Business Profile pour augmenter l’engagement des utilisateurs.
- Présence de pages locales dédiées si plusieurs localisations : créer des pages spécifiques pour chaque localisation si l’entreprise opère dans plusieurs zones géographiques.
- Ajout des horaires d’ouverture sur le site et GBP : afficher les horaires d’ouverture à jour sur le site et sur Google Business Profile pour éviter toute confusion.
- Utilisation de Google Posts pour les actualités locales : publier régulièrement des actualités locales sur Google Posts pour attirer l’attention des utilisateurs.
- Optimisation des mots-clés locaux (ex : « plombier à Paris ») : utiliser des mots-clés locaux spécifiques dans le contenu pour améliorer la visibilité locale.
- Vérification des résultats sur Google Maps : tester et vérifier que l’entreprise est bien située sur Google Maps pour faciliter la recherche locale.
- Présence d’un bouton « Appeler » sur mobile : intégrer un bouton « Appeler » visible pour faciliter les prises de contact mobiles.
- Suppression des erreurs d’adresses sur le site : corriger toutes les erreurs d’adresses pour éviter toute confusion et améliorer la cohérence.
- Ajout d’un CTA local clair (prise de RDV, devis…) : inclure un appel à l’action (CTA) clair pour inciter les utilisateurs à prendre des actions locales (prendre RDV, demander un devis, etc.).
- Vérification des signaux E-A-T (Expertise, Autorité, Fiabilité) : évaluer et améliorer les signaux d’expertise, d’autorité et de fiabilité pour renforcer la crédibilité du site.
- Présence d’une page « À propos » détaillée : inclure une page « À propos » bien rédigée pour démontrer l’expertise et la transparence.
- Ajout des profils réseaux sociaux avec balises Open Graph : connecter les profils de réseaux sociaux et intégrer les balises Open Graph pour améliorer la visibilité sur les plateformes sociales.
- Surveillance des positions avec Google Search Console : suivre les positions des pages avec Google Search Console pour ajuster les stratégies SEO en conséquence.
- Intégration des données structurées adaptées : utiliser des données structurées adaptées pour aider les moteurs de recherche à comprendre et à afficher correctement le contenu.
- Surveillance des backlinks et désaveu si nécessaire : suivre les backlinks et désavouer ceux qui sont nuisibles ou de mauvaise qualité.
- Automatisation des tâches récurrentes avec des scripts SEO : automatiser les tâches SEO répétitives pour gagner en efficacité.
- Vérification régulière des mises à jour algorithmiques Google : rester informé des mises à jour des algorithmes de Google et ajuster les stratégies en conséquence.
- Suivi des logs serveurs pour le crawl budget : analyser les logs serveurs pour optimiser l’utilisation du crawl budget de Google.
- Audit SEO régulier (tous les 3 à 6 mois) : réaliser un audit SEO complet régulièrement pour s’assurer que le site reste performant et optimisé.
Optimiser son SEO demande rigueur et patience, mais en appliquant ces 215 points de contrôle on-site, vous vous assurez de créer un site techniquement solide, bien structuré et apprécié des moteurs de recherche. N’oubliez pas que le référencement est un travail continu : les algorithmes évoluent, et vos optimisations doivent s’adapter en conséquence.

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